Technique de relaxation “Nagomi-Zen”

“Imagine-toi comme un marin voguant sur un océan agité. Dans cette mer de pensées tourbillonnantes et de stress, le Nagomi-Zen est ton phare. Il t’invite à prendre une pause, à jeter l’ancre et à te reconnecter avec ton calme intérieur.

Tout d’abord, prends quelques instants pour respirer profondément. Imagine que chaque inspiration apporte la fraîcheur de l’océan et que chaque expiration emporte avec elle les vagues de stress qui te submergent.

Ensuite, visualise un paysage tranquille, peut-être une plage paisible baignée par la lumière dorée du soleil couchant. Laisse-toi envelopper par cette image, ressentant chaque grain de sable sous tes pieds comme une invitation à la détente profonde.

Maintenant, concentre-toi sur ton corps. Commence par relâcher tes épaules, les laissant tomber doucement comme des plumes. Sens les tensions s’évanouir alors que tu te détends progressivement, comme si tu abandonnais le poids de tes préoccupations à la mer.

Pendant que tu te détends, reste présent dans l’instant présent. Imagine que chaque pensée est une vague qui vient et repart, sans que tu n’aies besoin de t’y accrocher. Tu es simplement là, comme un rocher solide au bord de l’océan, observant le flux et le reflux de tes pensées sans te laisser emporter.

Enfin, accueille chaque émotion avec bienveillance. Comme les marées qui montent et descendent, les émotions viennent et s’en vont. Permets-toi de les ressentir pleinement, mais rappelle-toi qu’elles ne te définissent pas. Tu es bien plus vaste que n’importe quelle émotion passagère.

En pratiquant le Nagomi-Zen régulièrement, tu cultivas un calme intérieur qui te permettra de naviguer avec grâce à travers les tempêtes de la vie. Tu seras comme ce marin qui, même lorsque l’océan est agité, trouve toujours la paix dans le mouvement des vagues.

Alors, prends quelques instants chaque jour pour te reconnecter avec ce phare intérieur. Laisse le Nagomi-Zen être ta boussole dans les moments de turbulence, te guidant vers un havre de paix au cœur même de la tempête.”

Guido SAVERIO


@vivremieux01

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